Three Days Grace au Metropolis
Metropolis - 11 Décembre 2013
Alors hier était une soirée hors de l’ordinaire, comme à chaque spectacle... Avant le départ, j’ai glissé mon album de Three Days Grace "Transit of Venus" dans mon sac de caméra. Juste au cas que je rencontrerais des membres du groupe. Arrivée au Metropolis, une jeune femme m’a remis un billet et une passe photo pour laquelle j’étais accrédité. Comme toujours, j’arrive un peu après les autres photographes à l’avant-scène. Saluant les visages familiers, je me retourne vers la foule qui remplissaient la sale, débordante d’anticipation. Je me sentais de même. 3DG sont haut placé sur ma liste de groupes à photographier. Fan depuis la sortie de leur album éponyme en 2003, j’étais ravie d’avoir enfin l’occasion de les avoir devant ma lentille. Les lumières s’éteignent et la foule se mit à crier de toute ses forces. Le batteur (Neil) est le premier qui fait son apparition. Il salut gracieusement la foule avant que les trois autres musiciens montent sur la scène pour « rocker » la place dès le départ avec l’énergisante « chanson ». Gauche à droite, droite à gauche, je me faufilais de tout les cotés pour avoir les meilleurs angles. Je ne suis pas très douée à faire des reviews comme vous pouvez voir, mais je peux vous dire qu’Adam, malgré quelques petites différence dans la qualité de sa voix, était très entrainant et se donnait à fond. Les autres artistes étaient rattachés à leurs instruments mais communiquaient merveilleusement la musique par leurs expressions et leur passion, qui se faisait ressentir jusqu’au bout de la sale. C’était fantastique, une après l’autre, les succès de leur carrière retentissait de la bouche de la grande majorité des spectateurs. Pour décrire en un mot l’énergie qu’on y trouvait en cette soirée particulière; Vivante. Ça vibrait de vie. Neil nous a brièvement fait part de la maitrise de son instrument, en se démarquant avec son unique façon de jouer. Les coups de tambours résonnaient avec les applaudissements. Les cymbales n’ajoutaient que de l’enphase au reste du solo, qui se tenait bien, et que j’ai trouvé assez divertissant. Après près d’une heure à sauter sur place, applaudir, chanter à tue-tête et faire de nouvelles connaissances, je croyais que ainsi se terminerait la nuit. Mais Adam a glissé un mot vers la fin, dévoilant qu’ils iraient au Foufounes Électrique (un bar situé à quelques pas du Metropolis) à la fin du spectacle. Je crois quil n’y a pas eu beaucoup de gens ont compris puisqu'à mon arrivé, il n’y avait qu’une vingtaine de personnes. Environ deux budwiser et une demie-heure plus tard, j’ai reconnu le batteur et deux autres membres du groupe. Je suis allée me présenter, serré la main et donné ma carte d’affaire. Il me parlait d’un projet sur lequel il travail, et qu’ils iraient dans un autre bar sur la rue Cresent. Il m’a invité et pris mon numéro. Je n’y suis pas allée, mais je suis certaine que ça ne sera pas la dernière fois que je les vois. Merci pour votre lecture, Lisa Stock